Une panne de courant massive à San Francisco a plongé 130 000 foyers dans le noir.
Quand les feux de signalisation se sont éteints, plusieurs robotaxis Waymo se sont figés, bloquant le trafic.
Cette scène surréaliste n’est pas un bug, c’est la face cachée de l’autonomie : profondément contextuelle.
👉 Les humains, eux, ont improvisé.
Ils ont agi en conscience.
Agir en conscience, c’est être présent à ce que l’on fait, pourquoi on le fait, et aux conséquences possibles de ses actes :
– pour soi
– pour les autres
– et pour l’environnement
Ce n’est pas réagir, c’est choisir.
Alors, la bonne question n’est pas :
« L’IA conduit-elle mieux que l’humain ? »
Mais plutôt :
« Que fait l’IA quand le monde ne se comporte plus comme prévu ? »
Car la vraie autonomie, ce n’est pas seulement de savoir rouler quand tout va bien.
C’est savoir décider quand tout va mal.
Et sans conscience, sans bon sens… comment improviser et anticiper son impact sur soi, les autres et son environnement ?
💬 Alors, votre avis ?
– Préférez-vous un robotaxi qui s’arrête par prudence, ou un humain qui continue par instinct (quitte à prendre des risques) ?
– Les machines pourront-elles un jour comprendre leur impact sur notre monde chaotique (non structuré, loin des labs de recherche) ?










