Si la France développe de plus en plus les recherches sur l’IA, la Chine dispose d’un potentiel énorme qui n’attend qu’à être exploité dans ce secteur. Une association autour de l’IA des deux pays est donc possible dans le futur. Actuellement, Na Tian, jeune fondateur d’une app chinoise, est en visite en France. Ce patron d’à peine 30 ans a réussi à lever 1.5 millions d’euros depuis 2016, et est aujourd’hui à la recherche de 4 millions de plus.
Une future collaboration avec la Chine ne pourrait qu’être bénéfique pour la France qui va investir 1.5 milliard d’euros pendant cinq ans sur le développement de l’IA. En dehors des partenariats avec la Chine, l’Hexagone est aussi ouvert aux aides provenant de la Finlande ou de l’Allemagne. Mais il faut savoir négocier pour arriver à percer en Chine. Bien que technophile, et en quête des meilleurs talents, la Chine reste très protectrice sur son marché.