L’ONU a organisé une conférence pour réunir les gouvernements du monde afin d’établir une règlementation concernant l’interdiction des robots tueurs autonomes. La Russie a immédiatement refusé toute interdiction concernant le développement de ces armes de pointes.
Jusque là, le développement de ces robots continue, poussé par les progrès de l’intelligence artificielle. Outre la Russie, La Chine et les États-Unis sont également dans cette course aux armements intelligents. Ces pays vont même à investir des milliards dans le développement de ces technologies. Plus discrets, des états comme l’Israël, l’Inde, le Japon, la Corée du Sud, la France participent aussi à cette course.
La Darpa, le département de recherche militaire américain, investit plus de 15 milliards de dollars dans le développement de ces robots militaires. Selon le New York Times, ce même département a déjà réalisé des tests de drones autonomes. Ces derniers pouvant cibler et attaquer sans l’intervention d’un humain.
Kalashnikov, une entreprise russe, est actuellement en cours de développement d’une arme de pointe. Il s’agit d’un petit char de combat intégrant la technologie NeuroNet. Avec cette technologie, la nouvelle arme de pointe de Kalashnikov pourrait identifier et cibler des objectifs, et ensuite, décider lui-même de les éliminer ou non.
L’ONU invite a bannir ces armes autonomes, soutenu par des employés de Google qui manifestent contre l’utilisation des technologies de l’IA dans le domaine militaire.